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Le blog des parents face à l'Education Nationale
14 décembre 2015

AUBERVILLIER - L'INSTITUTEUR MENTEUR DECLENCHE LA PANIQUE

aubervilier police

 

Un instituteur (professeur des écoles) se dit ce matin (14/12/2015) victime d'une agression vers 7 heures dans sa classe.

Il déclenche un vent de panique, traumatise les parents d'élève, les élèves et ses collègues.

Scandaleux tout est faux, inventé !!!!!

Cet instituteur est décrit comme fragile (???) et pourtant on lui confit des enfants.

Nous reproduisons ci-dessous un article du Monde.fr :

" C’est une fausse agression qui a provoqué une vraie panique, lundi 14 décembre, parmi les parents d’élèves et les professeurs d’Aubervilliers, en Seine-Saint-Denis. L’instituteur de l’école maternelle Jean-Perrin qui avait déclaré avoir été victime d’une attaque dans sa classe a reconnu à la fin de son audition, en fin d’après-midi, avoir « tout inventé », a déclaré au Monde le parquet de Paris. Une seconde audition a débuté pour tenter de comprendre les raisons de cette affabulation. Le parquet antiterroriste s’est dessaisi de l’enquête au profit de celui de Bobigny.

Décrit comme « fragile » par une source proche de l’enquête, l’instituteur avait affirmé avoir été blessé au cou à l’arme blanche par un homme qui lui aurait ensuite cogné la tête contre le mur. Il avait « une estafilade au cou et une bosse au front », ce qui laisse entendre qu’il se les était lui-même infligées.

Cet instituteur avait déclaré avoir été attaqué dans sa classe, entre 7 h 15 et 7 h 45, par un homme ayant invoqué l’organisation Etat islamique (EI). Selon son témoignage, un homme cagoulé, ganté et vêtu d’une combinaison blanche semblable à celle d’un peintre en bâtiment, lui aurait planté un cutter ou un couteau dans le cou avec « un geste d’égorgement », avant de lui frapper la tête contre le mur. L’instituteur avait ajouté que le supposé agresseur avait lancé : « C’est Daech, ça ne fait que commencer, c’est un avertissement. »

Eviter la psychose

Une évocation de l’organisation djihadiste qui a immédiatement déclenché le branle-bas de combat, un mois après les attentats de Paris et Saint-Denis. Police, responsables politiques, médias… Evidemment, « c’est pour cela que tout le monde est là », soulignait Luc Poignant, de l’unité SGP Police en fin de matinée, devant la rue bouclée. Même la ministre de l’éducation, Najat Vallaud-Belkacem, s’était rendue sur place, promettant que le gouvernement allait « continuer à renforcer » les mesures de sécurité dans les écoles.

Déjà, le responsable de la communication du syndicat policier appelait à la prudence. Un attentat ? Il en doutait devant la description faite par l’instituteur de son agresseur imaginaire. « Neuf chances sur dix pour que le suspect soit un déséquilibré », misait alors le policier. Peut-être, mais Elhadi Charane, lui, y a cru en arrivant devant l’école de son petit garçon. « Il y avait la police, le déminage… J’ai tout de suite pensé à un attentat. »

Rester calme, ne pas faire de lien, éviter la psychose. Professeur des écoles en CE2 à l’école Joliot-Curie voisine, Kevin Meslier voudrait bien. Mais depuis que les djihadistes ont fait des enseignants des cibles, il se sent « visé directement », lui qui « représente la laïcité ». Car l’organisation terroriste a menacé l’éducation à la française dans le septième numéro de la revue en ligne Dar Al-Islam (« demeure de l’islam »), son outil de propagande francophone, diffusé fin novembre. Titré « La France à genoux », en référence aux attentats du 13 novembre, le magazine s’en prend sur six pages à la laïcité « fanatique », à la mixité entre garçons et filles, « porte ouverte vers la fornication », et aux professeurs, considérés comme des « corrupteurs » à « combattre et tuer ».

Difficile pour le jeune enseignant d’Aubervilliers de cacher sa peur en sortant de l’école à la mi-journée. Une angoisse partagée par certains de ses collègues, en pleurs à l’intérieur du bâtiment. M. Meslier affirmait alors ne pas compter remettre les pieds dans l’école de ce « quartier difficile », où il travaille depuis cinq ans, tant que des mesures de sécurité n’auront pas été prises. C’était avant de savoir que l’agression n’en était pas une.

Côté police, le débat sur la sécurité se referme avec les aveux de l’instituteur. Et M. Poignant de conclure : « Pourquoi remettre en question la sécurité d’une école où il ne s’est rien passé ? »"


En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/police-justice/article/2015/12/14/agression-au-cutter-d-un-enseignant-en-seine-saint-denis_4831556_1653578.html#KBQLHKryo37tPU3C.99

Agression au cutter d'un enseignant en Seine-Saint-Denis

La victime préparait sa salle de classe au moment où l'individu a fait irruption vers 7 h 30. L'enseignant n'a été que légèrement blessé à la gorge et ses jours ne sont pas en danger. La section antiterroriste du parquet s'est saisi de l'affaire.

http://www.lemonde.fr

aubervilier police

 

 

 

 

 

 

 

 



 

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